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 le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre

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zouzoute91

zouzoute91


Localisation : pyrenees oriantales 66
Age : 68
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le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre Empty
MessageSujet: le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre   le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre EmptySam 18 Sep - 19:49

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petit train a l entree de la ville de la machine

il vient d etre repeint ,avant il etait noir/rouge/jaune.en juin 2010

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ancien batiment


Le siège de la direction



Ce domaine, au plan symétrique, fut progressivement édifié par les compagnies de Gargand et Schneider.

Centre décisionnel de l'exploitation, il concentrait également les ateliers nécessaires à son bon fonctionnement. On y trouvait la menuiserie charpenterie qui fournissait les coulisses en bois des tombereaux, ainsi que des meubles fournis aux ouvriers démunis, contre retenue sur leur paie.

S'y tenaient aussi la remise des rémunérations le second dimanche du mois et les réunions festives.

Chaque jour, le charbon était analysé dans le laboratoire afin d'approfondir les connaissances sur la qualité de ce qui était fourni à la clientèle et de ce que l'on envoyait aux « stériles » (teneur en gaz carbonique et en poussières).

Tout comme le besoin de travailler le fer avait impliqué la création de forges, de nombreux instruments utilisés dans l'exploitation comportaient des pièces de bronze (bielles et coussinets de locomotive, usine du lavoir, station de pompage....) et avait nécessité pour la Compagnie de se doter de sa propre fonderie.

Pour veiller sur le siège de la Compagnie, les gardes de l'entreprise étaient logés face au domaine, prêts à intervenir en cas de nécessité.

Ouvert depuis juillet 1983, le musée de la Mine prend désormais place dans l'ancien siège de la Compagnie. Il s'agit d'une œuvre impulsée par l'Amacosmi, en collaboration avec la municipalité de La Machine et le Conseil Général, dont l'objectif est de transmettre la mémoire des mineurs et de leur travail.Nous vous invitons à le visiter et à parcourir La Machine en suivant le « circuit découverte » balisé pour aller à la rencontre des multiples aspects d'une petite ville à l'heure du charbon.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]nouveau batiment



Le château de la direction



La compagnie Gargan fit construire la maison du directeur (le château) en pierres de grès, par la famille Perrier qui tenait également le café Perrier, sur la route de la cité Sainte-Eudoxie. La famille Schneider y séjournera à l'occasion.

Dans la cour du château, l'ancien puits dit « de la compagnie » fondé par la compagnie anonyme des mines de Decize, servit à l'extraction jusqu'en 1855, date à laquelle il fut jugé non rentable.

Le parc du château, composé de nombreuses essences, porte encore les traces de la première des cinq écluses sèches qui assuraient la continuité du chemin de fer construit pour le transport du charbon (système de balance formé de deux compartiments maçonnés dans lesquels, d'un côté descendait le wagon plein qui, par son poids faisait remonter le vide, circulant dans l'autre compartiment).

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Le Puits des Glénons



Ce puits a été construit entre 1825 et 1827. Un treuil à vapeur faisait alors fonctionner les cages qui descendaient les mineurs au fond.

D'une profondeur initiale de 240 m, il est approfondi à 400 m en 1850 puis à 431 m en 1924. Grâce à l'installation d'un ventilateur, il a pris ensuite la fonction de puits d'aérage et de sauvetage pour le puits des Minimes, à partir de 1954.

Après avoir servi de centre d'apprentissage aux futurs mineurs, il fut transformé en Musée de la Mine, en 1984, avec la bonne volonté et le courage d'anciens mineurs regroupés au sein de l'association l'Amacosmi (Association Machinoise pour la Conservation des Souvenirs Miniers), soucieux de conserver les traces de leur savoir.
Le Puits des Glénons








Le bâtiment en pierre qui subsiste aujourd'hui abritait la machine d'extraction. A ses côtés se trouve l'ancien réservoir d'eau et sous la dalle de béton, le puits de mine.

Avec le fonçage du puits des Zagots, dans les années 1840, l'ère de la modernisation débuta à La Machine : la machine à vapeur remontait désormais les bennes pleines sur le carreau des Zagots où elles étaient renversées et vidées par un culbuteur dans de vastes trémies.

La compagnie De Gargan avait mis en place ici une infrastructure d'exploitation durable qui engendra un rapide accroissement de la population.

Jusqu'à la création du puits Schneider (première appellation du puits des Minimes) au début du XXème siècle, le carreau des Zagots était le plus moderne à La Machine.

A partir de 1909, la Compagnie fit construire une lampisterie où étaient garnies de benzine les lampes de sûreté des mineurs. Elles y étaient également entretenues et rangées.

Les bâtiments pour les douches furent construits sur chaque site d'extraction, permettant à l'ouvrier de rentrer propre chez lui.

En 1952, les machines à vapeur des Zagots et des Glénons furent remplacées par des treuils électriques. Les transports par camions ont remplacé le chemin de fer en 1955.La fermeture du puits des Zagots en 1961 est le prélude à la concentration de l'extraction sur un seul puits, celui des Minimes.

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LE nouveau BATIMENT


Le Puits Henri Paul et l'ancien Puits Marguerite

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En 1927, la Compagnie Schneider décida d'arrêter l'extraction au puits Marguerite et de le remplacer par le puits Henri Paul situé à 100 m de distance.

Cet ancien puits Marguerite avait été le lieu d'une grave catastrophe minière. Au matin du 18 février 1890, un coup de poussière coûta la vie à 43 mineurs, surpris dans leur travail. Cet accident minier jeta la consternation sur La Machine. Des familles de mineurs quittèrent la ville à ce moment.

L'éloignement du puits Henri Paul par rapport au centre bourg nécessita la construction de logements qui furent réalisés sur le modèle de la cité des Minimes.

Sur ce carreau, la Compagnie, en 1930, inaugura un nouveau mode de transport, le « traînage » continu qui consistait à faire descendre les bennes chargées de charbon le long du plan incliné de la vallée de la Meule à l'aide d'un câble « sans fin » sur 3 km de parcours, et à les faire remonter du fond de cette vallée jusqu'au puits des Zagots où le déchargement s'effectuait.

En 1961, les charbonnages décidèrent que l'extraction ne se ferait plus que par le seul puits des Minimes où les couches de charbon plongeaient à 100 m. De plus, le trajet entre ce dernier puits et le lavoir du Pré Charpin était plus court. Dès lors, le puits Henri Paul ne servit plus qu'à l'aération et à la descente du gros matériel.

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En 1927, la Compagnie Schneider décida d'arrêter l'extraction au puits Marguerite et de le remplacer par le puits Henri Paul situé à 100 m de distance.

Cet ancien puits Marguerite avait été le lieu d'une grave catastrophe minière. Au matin du 18 février 1890, un coup de poussière coûta la vie à 43 mineurs, surpris dans leur travail. Cet accident minier jeta la consternation sur La Machine. Des familles de mineurs quittèrent la ville à ce moment.

L'éloignement du puits Henri Paul par rapport au centre bourg nécessita la construction de logements qui furent réalisés sur le modèle de la cité des Minimes.

Sur ce carreau, la Compagnie, en 1930, inaugura un nouveau mode de transport, le « traînage » continu qui consistait à faire descendre les bennes chargées de charbon le long du plan incliné de la vallée de la Meule à l'aide d'un câble « sans fin » sur 3 km de parcours, et à les faire remonter du fond de cette vallée jusqu'au puits des Zagots où le déchargement s'effectuait.

En 1961, les charbonnages décidèrent que l'extraction ne se ferait plus que par le seul puits des Minimes où les couches de charbon plongeaient à 100 m. De plus, le trajet entre ce dernier puits et le lavoir du Pré Charpin était plus court. Dès lors, le puits Henri Paul ne servit plus qu'à l'aération et à la descente du gros matériel.



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] apres il on pris un ane qui n est jamais remonter il est toujours en dessous. car la lumiere du jour le tuerai vu qu il a toujours ete dans le noir des annees

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les tonneaux que l ane tirait.


Le Port de la Copine, le Rio Gaillard



Jusqu'en 1841, le charbon était acheminé à dos d'âne, puis par chariot, jusqu'au port de la Charbonnière à Saint Léger des Vignes et évacué par la Loire.

Afin de faciliter la commercialisation, un autre mode de transport fut mis en place à partir de cette date. On a tendance à croire que le chemin de fer est né avec la vapeur !!

Bien avant, les hommes ont compris que circuler sur un chemin constitué de deux lignes parallèles permettait de déplacer des charges beaucoup plus importantes avec un seul cheval.

Des travaux furent entrepris à partir de 1841, partant du puits des Zagots, empruntant le vieux tunnel puis les cinq écluses sèches qui compensaient la forte déclivité du terrain, jusqu'au lavoir du Pré Charpin, via le Rio Gaillard sur une distance de voie principale de 6.380 m.

Ce lieu devint le principal centre commercial des houillères et employait plus de 40 personnes. Là, le charbon transitait par le canal du Nivernais, le canal latéral à la Loire, par la ligne directe reliant le Creusot, ou alimentait les particuliers de la région.

Ce n'est qu'en 1873, que la Compagnie Schneider remplaça les chevaux par des locomotives à vapeur (qui supprimeront les écluses sèches) tout en conservant le même tracé.

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Les Pensions ou cantines

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Les deux bâtiments accueillaient des pensions tenues par des familles, destinées aux mineurs étrangers célibataires. Les nationalités polonaise et yougoslavey étaient les plus représentées.

Les quatre pensions qui ne comptaient respectivement qu'une vingtaine de lits ne pouvaient accueillir l'important flux de nouveaux venus à La Machine, c'est pourquoi certains immigrés étaient placés en pension dans des familles irréprochables aux yeux de la Compagnie et pouvaient venir se restaurer dans ces pensions que l'on appelait pour cette raison « cantines ».

La localisation de ces pensions - cantines à une extrémité de la cité traduisait la volonté de la Compagnie de ne pas mélanger les populations.

Aucun français n'habitait ces pensions qui constituaient une formule d'hébergement préalable à l'obtention d'un logement permettant la venue en France des familles.

La Compagnie décidait la répartition des étrangers dans la ville comme elle le faisait aussi pour les nationaux.




Les crassiers et le terril








Une fois lavés et triés, environ 35 % des charbons étaient classés stériles et stockés en tas (les buttes), dont plusieurs se trouvent, aujourd'hui, autour de l'étang Grénetier.

Le terril se différenciait du crassier (ou butte) par son mode de chargement. Le terril était équipé d'une rampe de forte pente sur laquelle circulaient des wagonnets, tirés par un treuil situé à la base. Les wagonnets se déversaient automatiquement au sommet de la rampe, ce qui donnait la forme conique caractéristique du terril.

Le crassier, lui, n'avait pas de rampe de déversement et en imposait moins par sa hauteur que le terril. Les « schalms » étaient également déversés ensemble, formant une boue dans des bassins encore visibles près du terril.

Ces reliefs originaux, symboles de l'activité industrielle productrice de scories, se couvrirent rapidement d'une végétation facilitée par la proximité de l'environnement rural et forestier. Les spécialistes reconnaissent des caractères atypiques à cette végétation qui a poussé sur des sols chauds.

Encore aujourd'hui, une surveillance de ces compositions s'impose car le terrain y est instable : l'érosion peut causer des glissements de terrain, ou le feu se déclencher à l'intérieur d'un crassier.



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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
La maison témoin





Homologue de la cité Saint-Eugène réalisée au Creusot, la cité Sainte-Eudoxie construite à partir de 1873 rassemble quatre-vingt-dix maisons individuelles avec des jardins. La ville a souhaité y restaurer une maison minière typique. L'habitation d'une superficie de 40 m² est composée de deux pièces pour loger un couple avec 4 à 6 enfants en moyenne.
Le toit de cette maison était couvert de tuiles, les pierres des murs recouvertes d'un enduit, les portes et fenêtres ourlées de grés. Dans le jardin, on trouvait le cabinet de toilettes en planches. La porte ouvrait sur deux pièces auxquelles venaient se greffer la cave, le grenier qui servait à sécher le linge et une porcherie, qui servait à engraisser les deux porcelets (ou nourrains) achetés chaque année par les familles. Le mineur tuait un porc à l'entrée de l'hiver et vendait le second à la foire pour se dédommager des dépenses occasionnées par le premier.A l'intérieur, la terre battue avait laissé place au carrelage et l'évier en pierre se faisait la marque de l'hygiénisme prôné à l'époque. Le jardin permettait au mineur et à sa famille d'avoir une activité de type rural pour celui qui passait la majeure partie de sa journée « au fond » et fournissait un revenu d'appoint pour la famille.

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La gare de triage








Cette « gare de triage » fut mise en service en 1873 avec la venue des premières locomotives à vapeur. Elle était reliée au puits des Zagots par un tunnel et le prolongement de la ligne reliait le puits des Glénons aux ateliers de réparation.

Deux voies desservaient le lavoir du Pré-Charpin : l'une était affectée au transport du charbon brut, les wagons étant vidés dans les trémies du lavoir, l'autre permettait d'évacuer les schistes et les déchets de triage.

Une voie conduisait au dépôt de charbon des Glénons pour la distribution aux mineurs. Plus tard, une voie traversant la route de Decize relia le puits des Minimes à la gare.

En 1955 les locomotives à vapeur et la voie ferrée furent abandonnées au profit de la route et des camions.

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Le musée - 1 avenue de la République 03.86.50.91.08








[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien][/url]Ouvert en 1983, le Musée présente les différents aspects de l'activité de la houillère, l'organisation politique, économique et sociale des différentes compagnies (Société anonyme des mines de Decize, Compagnie Schneider, Houillère du bassin Centre Midi).
Le Musée retrace la vie quotidienne des mineurs dans leur espace familial et domestique, dans leurs relations de travail et de voisinage, dans la convivialité des fêtes et des réunions associatives, avec la diversité des populations immigrées venues augmenter les effectifs lorsque la main-d'œuvre nivernaise devenait insuffisante. Au rez-de-chaussée une grande collection de paléontologie et de minéralogie présente les spécificités du site. Le Musée est agrémenté chaque année d'une exposition temporaire liée à l'industrie ou à l'histoire locale.









L'ouverture :

  • Du 1er au mars au 14 juin : dimanche et jours fériés (sauf le 1er mai) de 14h00 à 18h00


  • Du 15 juin au 15 septembre : du lundi au dimanche de 14h00 à 18h00


  • Du 16 septembre au 31 octobre : dimanche et jours fériés de 14h00 à 18h00


* Des visites sont possibles pour les groupes en semaine,

  • [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
    La Mine Images - Rue Louis Lanoizelée 03.86.50.90.22







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Le carreau constitué par la lampisterie, le chevalement et la salle des machines est le premier contact avec le monde de la mine. La descente dans la mine image, (galerie de mines reconstituées), permet de découvrir à travers divers chantiers, les techniques utilisées du XIXème siècle à la fermeture de la houillère en 1974.


Les archives de la houillère


Les archives des mines de La Machine, remontant de la fin du XVIIIème siècle jusqu'en 1974, aménagées sur 400 m² au premier étage du Musée, comptent plus de 15 000 liasses de documents et plus de 7000 plans divers.

Une source d'informations colossales sur le travail des mineurs, les méthodes d'extraction et de traitement des charbons, le matériel, les correspondances diverses, les rapports des gardes, mais aussi sur la vie quotidienne dans les cités.

Ces archives, qui ont fait l'objet d'un contrat entre la Direction des Houillères de Blanzy et la Direction des Archives Départementales de la Nièvre, sont consultables sur rendez vous.










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Les casernes








Le carreau des Zagots constitue un point culminant d'où il est possible de découvrir plusieurs étapes de l'habitat ouvrier.

En contrebas, nous apercevons les anciennes « casernes » ouvrières qui sont les logements les plus anciens encore présents. Il s'agissait d'habitations collectives permettant de loger les ouvriers en grand nombre et à peu de frais pour la Compagnie des mines de Decize qui construisit les premiers logements vers 1816.

Plus loin vous découvrirez la cité des Zagots, construite en 1920, puis les logements collectifs disposés en bandes de la cité des Minimes, dont le modèle d'architecture fut repris pour la construction des logements du Puits Henri Paul.

Le logement ouvrier est présent sous une forme plus contemporaine avec la cité Gai Séjour, construite dans les années 1960, au moment où de nombreux rapatriés Harkis vinrent augmenter les effectifs de la Compagnie.

Ainsi, situé à 600m du centre bourg, le carreau des Zagots représente un cœur historique à l'origine de l'urbanisation de la ville.

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Les expositions du musee



temporaires du Musée de la Mine

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st munie d'un nouvel atout de communication en se créant, notamment par l'intermédiaire d'André Colin, son vice-président, un

La cité Saint Eudoxie



La municipalité propose aux Internautes un voyage ou une balade dans le passé machinois avec notamment la visite de ses quartiers...


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La localisation de cette cité excentrée du bourg permettait d'isoler une population de mineurs, issue des mines fermées de l'Allier ou du Nord, qui était jugée plus revendicative. Bon nombre d'ouvriers paysans des communes alentour y furent logés également.

L'entreprise connaissait au début des années 1870 un important accroissement de ses effectifs. Cette cité, qui prit le nom de l'épouse d'Henri Schneider. Construite en 1873, elle constitua un élément fort de promotion de la Compagnie vers l'extérieur qui en présenta les plans aux expositions Universelles de 1878 et 1889.

Des canalisations amenaient l'eau filtrée de la Loire et des pompes furent installées dans les rues. Le manque de sanitaires, le cabinet de toilettes rudimentaire à l'extérieur, l'absence d'égouts, le manque de place et de confort, le cadre rural faisaient de cet ensemble une ville adaptée à une main-d'œuvre récemment arrivée des campagnes.

Comme pour la Cité Sainte-Marie, les maisons de 5m sur 9 m, étaient construites dans le style régional, avec d'épais murs de pierres et le traditionnel « toit à cochon » sur le côté. Un jardin de 8 ares accompagnait cette habitation.

Les habitants de chaque cité organisaient au début du printemps les feux de brandons à partir des déchets d'élagage des haies d'hiver, que la population rassemblait en bûcher. Ce feu prenait place sur le « rond du haut » et aux pieds de la Vierge à la cité Sainte Marie. En ce jour de fête, chaque ensemble urbain s'efforçait de faire grimper les flammes le plus haut possible.


La cité Sainte Marie



La municipalité propose aux Internautes, un voyage ou une balade dans le passé machinois, avec notamment la visite de ses quartiers...


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En 1856, la compagnie de Gargand fit construire 40 maisons individuelles afin de fixer la main-d'œuvre qui travaillait au puits des Zagots, situé à 300 m. L'installation minière a donc impulsé l'implantation humaine.

L'ensemble constituait une référence pour l'architecture du XIXème siècle, exemplaire pour la qualité de son urbanisme. Le plan elliptique avec ses rues étagées qui respectent le niveau du terrain, s'articulait autour de la fontaine surmontée d'une statue de la Vierge.

En 1873, la compagnie Schneider qui racheta les habitations, réalisa la construction de la dernière rue de cette cité, la rue de Ceinture dite « Cité Villedieu » copiant celle construite au Creusot dix ans auparavant.

L'espace laissé libre entre chaque maison fut vite transformé par les occupants en jardins bordés de haies d'aubépines. L'idée de cité-jardin se trouve ici en filigrane. Certains bâtiments étaient attribués à des commerçants qui animaient la cité.

Le long de l'ancien chemin du Gravucheau, qui relie la cité Sainte Marie et la cité Sainte Eudoxie, vous passerez à côté de l'ancien café «Chez la Gilberte» tenu par la famille Perrier. Il s'agissait d'un lieu de fêtes, avec un stand de tir qui était réputé.



La cité des Zagots





La municipalité propose aux Internautes un voyage ou une balade dans le passé machinois avec notamment la visite de ses quartiers...




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Entre la route des Zagots et la voie ferrée, la compagnie Schneider décida, en 1920 de construire des logements destinés à accueillir des mineurs en provenance d'autres exploitations françaises en déclin.

Les quinze bâtiments collectifs en retrait de la rue, comprenaient un étage et étaient divisés en quatre logements.

Les Schneider accordaient une large place à l'innovation dans la mise en œuvre : on utilisa par exemple ici le béton armé. Toutefois, l'isolation phonique restait un problème à résoudre.

Les quatre logements d'une unité partageaient un petit jardin collectif où l'on trouvait les sanitaires extérieurs collectifs. A la cité des Zagots, la surface du jardin était plus restreinte que celle dont jouissaient les mineurs logés dans les cités de la fin du XIXème siècle.

L'actuelle rue Verlaine était surnommée rue de la Chicane en raison des discussions mouvementées entretenues par les femmes de mineurs sur la voie publique.

La cité des Minimes



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La construction, en trois étapes successives, de la cité coïncide avec les dates d'introduction des mineurs étrangers à La Machine.

Au début des années 1920, la Compagnie Schneiderréalisa ici des bâtiments collectifs en rez-de-chaussée de 2, 4 ou 6 logements de 2 à 3 pièces). Puis, entre 1929 et 1939, d'autres en rez-de-chaussée de 4, 5, 6 logements (4 pièces) sortirent de terre.

La Compagnie recrutait alors massivement un personnel immigré et lui proposait des habitations de caractère modeste. Simplicité de l'organisation, médiocrité de la qualité architecturale, pauvreté en volumétrie, l'ère de la construction industrialisée s'annonce.




Dans la partie ancienne de la cité, les rues étaient numérotées et lettrées pour se repérer dans ce quadrillage strict. Entre 1921 et 1946, la population logée à la Cité des Minimes avait plus que doublé et rassemblait environ un tiers de la population de la ville en 1946, traduisant ainsi un dynamisme démographique de la population. Dans cette cité, il n'y avait pas d'équipements commerciaux, ni de lieux de rencontres culturelles. Les habitants prirent alors l'initiative d'aménager le stade des Sokols, dans leur cité.

Certains équipements publics jouaient un rôle d'intégration important comme les bornes-fontaines en bout de rue où des femmes de toutes les origines venaient s'alimenter en eau. La proximité immédiate de familles françaises permit aux femmes étrangères d'acquérir rapidement des pratiques locales.
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entree du batiment pour visiter

1er etage:la visite commence

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aller jean pierre ,met ton casque et chapeau obligatoire et ta veste aussi, car fait froid en bas

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ils regardent les habits des mineurs ,jp et la famille.
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les habits et endroit ou les mineurs les posaient
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les machines et materiels qu ils se servaient pour remonter les wagons de minerais

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l entree du tunel des mines

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l entree par ou on descent dans la mine avec un guide,c est en pente avec des marches anciennes .

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cette partie de mine a ete fermer apres un eboulement ,qui a causeé la mort de beaucoup de mineurs ,helas sa arrivait souvent,des 100ene dhommes sous les decombes dont des enfants de 12/ 14ans.

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le charbon restant sur les murs ,apres avoir creser retirer le reste.
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des longs tunnel comme celui ci ,qui part dans plusieurs sens avec des croisements
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les chariots remplis que l ane poussait jusqu en haut.avec des enfants

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lui est rester dedans ,mais je pense changé depuis ,vu les dates.

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les wagons ,qui etaient sur rail, reliee aux machines au 1er etage

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une perforeuse pour ouvrir le passage de la mine.avec un stanfaut .

tous se faisait a la main

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enfin la sortie au jour, apres des km dans le noir

les personnes sont de ma famille, donc pas de soucies pour les mettre.
merci a eux de m avoir fait les photos.


Dernière édition par zouzoute91 le Jeu 16 Déc - 16:19, édité 1 fois
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le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre Empty
MessageSujet: Re: le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre   le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre EmptySam 18 Sep - 20:43

la machine

Se situant à environ 30 kilomètres au Sud de Nevers (préfecture de la Nièvre), l'histoire de La Machine a été marquée par trois siècles d'exploitation du charbon et ce, jusqu'à la fermeture en 1975. La Machine est une commune française, située dans le département de la Nièvre et la région Bourgogne et ses habitants sont les Machinois. Dès 1669, en parcourant la Nièvre, Colbert prend conscience de la richesse de cette contrée. Décidant du développement de l'exploitation du charbon de terre, il fait venir de Lièges des ingénieurs dont l'un d'entre eux, Daniel Michel fait installé en 1689 une des premières " machine " servant à extraire du charbon. C'était un lourd manège à chevaux qui permettait la remontée des mineurs, mais aussi la circulation du matériel et du minerai. Cette installation a fait la curiosité des habitants des alentours qui venaient voir " la machine ", d'où le nom de la commune.
Toute l'histoire machinoise se confond avec celle de l'extraction de la houille. Après la fermeture définitive, un groupe de mineurs, ayant pressenti la cessation de l'exploitation, décide de constituer l'Association Machinoise pour la Conservation des Souvenirs Miniers (A.MA.CO.S.MI.) en 1970, avec la volonté farouche de perpétuer la mémoire de la mine à La Machine. Avec l'appui de la ville, la collaboration de l'Etat, la Région et le Département, le Musée de la mine est établi dans les anciens bureaux de la houillère et le Puits des Glénons est sauvegardé, avec le projet d'y reconstituer le travail des mineurs.
Le Musée est officiellement inauguré en juillet 1983 par Pierre BEREGOVOIE


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L'Infirmerie


Jusqu'en 1846, il n'y avait ni médecin, ni pharmacien, dans la cité. La compagnie Gargan décida de faire venir un médecin de Decize, plusieurs fois par semaine, puis l'entreprise fit construire l'infirmerie des mines à laquelle elle rattacha un médecin.
Dans les années 1890, les mineurs fondèrent une caisse de secours qui venait en aide aux sociétaires malades et nécessiteux.
Jusqu'au début du 20ème siècle, le blessé pouvait être hébergé dans l'une des salles de l'infirmerie. Les blessés graves étaient hospitalisés à l'Hôtel - Dieu au Creusot.
L'infirmerie resta en fonction avec un médecin et un infirmier jusqu'à la fin de l'exploitation en 1974.

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PHOTOS ANCIENNES DE LA VILLE DES MINES
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MessageSujet: Re: le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre   le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre EmptyJeu 16 Déc - 18:16

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se qu on trouve dans la mine qui a servis aux mineurs pour travailler le charbon.
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MessageSujet: Re: le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre   le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre EmptyJeu 16 Déc - 18:54

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l ane servait a pousser les chariots charger dans la cote ,car le transformateur, n etait pas assez puissant pour les cotes.
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en haut quand on rentre dans batiment se trouve:

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le musee qui se trouve dans la salle en haut
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au milieu de la piece, en souvenir des mineurs decedés ,au fond de la mine
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MessageSujet: Re: le musee des mines dans la ville de la machines ,58 nievre   le musee des mines  dans la ville de la machines ,58 nievre EmptyJeu 16 Déc - 19:16

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mari et fils entrain d ecouter, le gars.


le dehors
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